mardi 15 décembre 2015
samedi 12 décembre 2015
TOUT
Tout ,tout de plus en plus vite
Tu prends , tu joue, tu jette
Rien ne t’arrête !
Plus le temps d’être un enfant
Déjà tu voudrais être grand
Tu as jeté ton doudou
Plus de câlins si doux
Ta girafe Sophie
Pleure toutes les nuits
Au bout de ton lit
Elle s'ennuie
Ta nounou s'appelle télé
Tu ne peut plus t'en passer
La belle au bois dormant
Ne se réveillera pas
Il est fini le temps
Des histoires Maman !
Tout,tout de plus en plus vite
Tu prends , tu joue , tu jette
Rien ne t’arrête
Tu cherche la femme idéale
Une beauté fatale
On a troquer les fiançailles
Pour la durée d'un feu de paille
L 'Amour est si vite consommé
Que peu tu encore désirer
Alors ! tu la laisse partir
Sans un remord,sans un cri
Tout ,tout de plus en plus vite
Tu prends , tu joue , tu jette
Et tu t’arrête
Déjà , tu a vieilli
Alors , tu réfléchis,
Comment tu va finir ta vie?
Je prendrais chaque instants de bonheur
Je vous jouerais la mélodie de mon cœur
Et me jetterais dans vos bras !
Car !
Tout ,tout ,passe si vite
Quand on a passer l'age !
samedi 5 décembre 2015
jeudi 3 décembre 2015
Ma Madone
C'était un petit bout de femme
Elle avait au fond de son âme
Tant d'amour a distribuer
Pour ses enfants ses adorés
Lorsqu'elle partait travaillé
On essayaient de pas pleurés
Un baiser un peu volé
Des bras qu'ont n'as pas trouvés
Que le Bon Dieu me pardonne
Pour nous c'était notre Madone
Mais quand le Dimanche arrivait
Sa robe a fleurs elle mettait
Elle enfilait ses bas de soie
Les seuls qu'elle avait ma foi
Un peu de rouge sur ses joues
Et recoiffait ses cheveux fou
Que le Bon Dieu me pardonne
c'était la plus belle des Madone
Il a du en être jaloux
Il s'en ai épris d'amour fou
Un beau Dimanche de Août
Il l'a emportée pour toujours
Je lui aie mis sa robe a fleurs
L'aie serrée contre mon cœur
Enfilée ses bas de soie
Les seuls qu'elle a eu ma foi
Un peu de rouge sur ses joues
Et recoiffer ses cheveux fou
Mais que le Bon Dieu me pardonne
je l 'aimais plus que lui ma Madone
Elle avait au fond de son âme
Tant d'amour a distribuer
Pour ses enfants ses adorés
Lorsqu'elle partait travaillé
On essayaient de pas pleurés
Un baiser un peu volé
Des bras qu'ont n'as pas trouvés
Que le Bon Dieu me pardonne
Pour nous c'était notre Madone
Mais quand le Dimanche arrivait
Sa robe a fleurs elle mettait
Elle enfilait ses bas de soie
Les seuls qu'elle avait ma foi
Un peu de rouge sur ses joues
Et recoiffait ses cheveux fou
Que le Bon Dieu me pardonne
c'était la plus belle des Madone
Il a du en être jaloux
Il s'en ai épris d'amour fou
Un beau Dimanche de Août
Il l'a emportée pour toujours
Je lui aie mis sa robe a fleurs
L'aie serrée contre mon cœur
Enfilée ses bas de soie
Les seuls qu'elle a eu ma foi
Un peu de rouge sur ses joues
Et recoiffer ses cheveux fou
Mais que le Bon Dieu me pardonne
je l 'aimais plus que lui ma Madone
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